Ma sélection Instagram #78
Envie de découvrir des comptes Instagram qui changent ? Évadez-vous avec ma sélection personnelle et originale des meilleurs comptes. Robert Mapplethorpe disait « plus vous voyez d’images, meilleur vous serez en tant que photographe ». Admirez les oeuvres des autres, c’est découvrir une nouvelle façon de penser, une perspective différente. C’est aussi diversifier ses sources d’inspiration pour son propre travail.
Toutes ses photographies ont toutes une dimension assez onirique, presque de l’ordre de l’abstrait. On pourrait même qualifier mon travail de rêveur, tout simplement. Développant aujourd’hui une écriture plus affirmée, l’autrice s’intéresse particulièrement à la représentation des émotions. Flous artistiques, grain prononcé, portraits nocturnes se suivent, sur sa galerie Instagram, et témoignent de son désir de fusionner songe et réalité.
Le street photographer suédois nous embarque dans ses déambulations à Stockholm. Portraits granuleux, harmonie des couleurs et jeux d’ombres sont magnifiés par un sens rigoureux de la composition.
« Photographe des ombres et de l’invisible ». C’est ainsi que se définit le photographe, de son vrai nom Raphaël Tamburrini. Son œuvre monochrome, caractérisée par un mouvement et une mélancolie appuyées, dévoile des silhouettes fantomatiques qui viennent se mêler aux paysages picturaux et aux bâtiments inhospitaliers qu’il capture.
Archiviste à l’Université de Poitiers, ce photographe, artiste originaire d’Uruguay, a découvert la photographie à l’adolescence. Véritable flâneur, il investit l’espace public à la recherche d’une esthétique bien précise : « On retrouve dans ses images des zones d’ombre, des noirs pleins, des lumières nocturnes et crépusculaires. Il recherche la synthèse dans la composition. Les surfaces lisses et monochromes, l’éclairage ponctuel, les moments de perte de stabilité, les réalités subjectives et les projections mentales des personnages qui apparaissent dans le cadre.
Dans un monde en perpétuel mouvement, le travail photographique de Ka Bell saisit des moments suspendus, fragments de l’inédit, furtifs ou clandestins, loin de tout spectaculaire. Non sans effets, ces empreintes révèlent, au travers de la sensibilité affirmée de son regard, la poésie secrète de l’existence mais aussi parfois le grain de sa rudesse.
Pour conclure, venez rejoindre mon univers Instagram, chaque semaine de nouvelles photos. N’hésitez pas à laisser des commentaires.